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Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme Femmes fessées
il y a 5 ans

Je terminais mon troisième verre, et il était assez tard. Dans la petite salle sombre et enfumée du "Blues Corner"; trois musiciens faisaient le "boeuf", rien que pour eux, et seules deux tables étaient encore occupées. Il devait même être très tard, mais je n'avais pas de montre sur moi et, d'ailleurs, je me fichais bien de l'heure qu'il pouvait être; la nuit n'était pas terminée, et je me sentais gagné par un vague ennui. J'ai jeté un billet sur le comptoir, et m'y suis adossé. C'est alors que la porte du bar s'est ouverte, et Karen est entrée. Le barman lui a jeté un regard lourd de fatigue, mais il n'a rien dit. Karen est venue à moi en souriant. J'ai pris la main qu'elle me tendait et, m'inclinant, je l'ai effleurée de mes lèvres. Elle m'a dit: "Bonsoir, comment allez-vous?" J'ai répondu n'importe quoi; des images très fortes affluaient dans mon esprit.

Je n'avais pas revu Karen depuis sa mémorable visite à mon atelier, trois mois plus tôt. Je l'avais rencontrée la veille, au vernissage d'une exposition de peintures érotiques à laquelle je participais. Elle semblait très intéressée par mon travail, et, il faut bien le dire, assez troublée par ce qu'il représentait... Des femmes; des femmes attachées, à-demi dévêtues, fouettées. Parfois en humiliante posture sur les genoux d'un homme - ou d'une femme - et recevant sa punition.

Hypocritement, elle avait parlé de ma technique, des ambiances lumineuses qui baignaient certaines de mes toiles mais, à aucun moment, elle n'en avait évoqué les sujets. Elle avait manifesté le désir de visiter mon atelier, et je l'avais reçue le lendemain. Après les banalités d'usage, un léger incident allait décider de la suite des évènements; Karen, involontairement - ou pas, je n'en sais rien - avait renversé sa flûte de Champagne sur ma table de travail, inondant quelques croquis sans importance. Faisant semblant d'être fâché, je l'avais sommée de partir, ou... De reconnaître qu'elle méritait une "juste" punition. Elle connaissait mes oeuvres - sinon ma sulfureuse réputation -, et ne pouvait ignorer de quelle façon elle serait punie... Elle était restée.

Elle avait donc reçu ce qu'il est convenu d'appeler "une bonne fessée", administrée à l'aide de ma longue latte graduée, instrument usuel du dessinateur et du sévère correcteur que j'étais.

Après cela, elle partit très vite, confuse au-delà de toute expression; elle devait reprendre un vol pour Madrid le soir-même. Je pensais ne jamais la revoir et, de temps en temps, quand ce charmant souvenir me hantait, j'ouvrais un des tiroirs de mon bureau, j'en tirais la petite culotte de coton blanc que je lui avais confisquée, et j'y déposais un petit baiser... .

Karen

L'avion atterrit finalement à l'aéroport de Bruxelles. J´étais nerveuse, angoissée.. Je ne savais pas très bien si je voulais rester ou prendre l'avion du retour et fuir a toute vitesse.

Mille fois je me suis demandée si j étais folle.

J´étais folle ?... Pourquoi avais-je décidé de revenir ?

Ça faisait trois mois , seulement trois mois, que pour la première fois de ma vie avais voyagé jusqu' à Bruxelles pour une affaire en rapport avec ma thèse de doctorat. Le sujet de ma thèse n'était pas simple, et il avait la particularité que les pièces à étudier étaient trop dispersées.

J'ai eu la chance que Bruxelles réunisse pendant 5 mois toutes ces pièces dans une même exposition, et cela été une grande occasion.

C´était presque la fin de mon séjour quand l'exposition se termina, et je préparais mes bagages de retour, lorsqu'en entrant pour la dernière fois dans le musée, j´ai vu une affiche.

C'était l'annonce d'une nouvelle exposition. Une exposition qui était inaugurée dans la salle d´a côté. Je me suis approchée… Quelle surprise ! Le grand Waldo exposait .

J'avais entendu parler de lui et je connaissais ses oeuvres .

J'aimais beaucoup sa façon de peindre. Son réalisme, le mélange des couleurs et les textures dans ses toiles. Les expressions des personnages, les détails.. Ses tableaux étaient comme des photographies, instantanés de la vie même, mais au-delà de ce qu'une camera peut recueillir, les dessins de Waldo recueillaient l'âme.. En voyant ses peintures, on sait toujours quelles sont les sensations, les sentiments, les pensées des personnages représentés. Mais, j´avais vu surtout aussi certains de ses tableaux qui traitaient de femmes fessées, attachées... soumises… je ne peux pas expliquer pourquoi, mais cela m'attirait spécialement.

J´étais habillée assez simplement, avec une jupe bleue marine courte et ample, une chemise blanche, des chaussettes blanches et des chaussures à talons plats . J'ai regardé l'annonce de l'exposition de Waldo. J'ai regardé ma tenue... je ne me suis pas aimée. Je n'étais pas habillée pour une exposition. Mais si je n'en profitais pas, je n'aurais jamais l'occasion de voir au naturel l'art de Waldo, que jusqu'à présent, j´avais seulement eu l'occasion de voir sur des photos, revues et livres d'art, puisque mon avion de retour à Madrid décollait juste le jour suivant. Alors, même si ma tenue n´était pas la plus appropriée, j'ai décidé d’entrer.

Juste quand je regardais une étonnante peinture ou on pouvait voir une femme assise sur un long banc de pierre, sous une fenêtre, fessant une jeunette couchée en travers de ses genoux, j'ai entendu que quelqu'un me parlait...

-"Bonjour Mademoiselle, je vois qu´elles vous intéressent mes peintures…

Je me suis paralysée. C était Waldo en personne qui s'était approché de moi et avait constaté l'intérêt qui je portais à un dessin qui faisait partie de mes fantaisies érotiques plus secrètes. Je me suis troublée. J'ai essayé de m´en sortir en essayant de parler de technique, et sur son art en général, Inutile.. Waldo s'était rendu compte de l'effet qu'en moi avaient causées ses peintures de fessées et de domination. En me voyant si intéressée par son art il m'a invitée à son atelier. Mon cœur s´est arrêté. Il y avait quelque chose dans cet homme qui me faisait, d'une part, me confier à lui, et d´une autre, me troublait, m'inquiétait. Beaucoup de sensations se sont bousculées dans mon esprit avant que je réponde. J'ai fait appel à ma sagesse, longuement démontrée, j ai essayé de me convaincre moi même que cela était une folie, me suis répété mille fois: "dis non, dis non" mais, en baissant les yeux, et avec une petite voix tremblante, tout simplement, j'ai accepté ..

Waldo m'a emmenée à son atelier de peintre. J'ai pu étudier à l aise tous ses tableaux. Non seulement ceux avec les sujets de domination, mais tous les autres. Nous parlions, nous fumions.. Mais je me sentais perturbée.

Le regard de Waldo avait quelque chose spécial que je ne puis pas décrire.. J’étais très nerveuse. Waldo m'a servi un verre et sans le vouloir je l´ai renversé sur des dessins sur la table. Je n'ai pas pu y croire, quand il m'a annoncé qu'il me punirait pour cela. Ce n´était pas possible.. Cela ne pouvait pas être en train de m´arriver à moi... Mais en effet..... Waldo ne plaisantait pas et je ne sais pas très bien si je n'ai pas pu ou n'ai pas voulu m'opposer . Quelque chose m'obligeait à lui obéir , à me soumettre...

Waldo m'a fessée avec sa règle de dessinateur, sur les fesses nues. C´était la première fois que je me faisais fesser de ma vie. J´avais toujours rêvé d´une fessée comme celle- la.. Mais jamais je l´avais reçue. Pendant que je sentais les coups de règle sur mes fesses, des millions de sensations ont traversé mon esprit. La douleur, la honte, l´humiliation d´être fesses nues face a un inconnu, et quel inconnu!! L´homme dont j´avais rêvé depuis le premier jour où j´avais vu un de ses dessins sur un livre d´art, représentant une femme se faisant fesser à la cravache par un homme, dont j´ai toujours su que c´était un autoportrait… Maintenant j´étais là. Dans son atelier. En effet, l´homme que j´avais vu sur le dessin du livre d´art lui ressemblait beaucoup. Et maintenant c´était moi qu´il fessait, à la règle, là... à son atelier.

Penchée en avant sur sa table, parmi tous ses dessins, à côté du verre renversé, avec ma jupe bleu marine d´écolière retroussée, mes fesses à l´air, je recevais pour la première fois la fessée de mes rêves les plus intimes, de mes désirs les plus cachés, et j´étais excitée.

Quand Waldo a fini de me fesser, je suis partie en courant, j´ai fui, j´ai quitté l´atelier à toute vitesse, confondue, honteuse.. .Et dans cette fuite, je ne me suis pas rendu compte que j´avais oublié ma culotte...

Partie 1

Et voici que Karen était là, à cette heure indue, dans la chaleur moite et obscure du "Blues Corner"... Elle était de passage à Bruxelles, pour ses études, je crois; elle était arrivée l'avant-veille et repartait le lendemain soir. Je lui en fis le reproche:

  • Vous auriez pu me contacter plus rapidement! Ca mériterait une correction... Et comment m'avez-vous trouvé? Vous avez fait tous les bars à ma recherche?... Vous teniez tant que ça à me revoir, malgré ce que je vous ai fait?...

  • Mais, non, non! C'est par hasard que je...

La pénombre ne m'avait pas empêché de voir ses joues prendre une nuance carminée très délicate... J'aime les femmes fautives capables de rougir; je trouve cela attendrissant... Je poursuivis d'un ton sévère:

  • Vous mentez, en plus! Le mensonge mérite aussi une punition... Vous êtes allée à mon atelier, je n'y étais pas, et vous avez cherché dans tous les bistrots du quartier... Pourquoi ne pas le dire?...

Fuyant mon regard, elle balbutia: "je ne sais pas... Excusez-moi". J'eus un petit rire:

  • Je ne pardonne pas si facilement, petite fille! Je vais vous donner, ici-même, la fessée que vous méritez... Je suis sûr que ces messieurs-dames n'y trouveront rien à redire; quant au barman, c'est un ami.

J'avais parlé assez fort, et les gens nous regardaient d'un air amusé; Karen avait perdu instantanément ses belles couleurs. Elle dit, suppliante: "ce n'est pas possible... Pas ici..."

  • Bon, si vous préférez, allons prendre un dernier verre à l'atelier. Mais je serai plus sévère, dans ce cas. Vous pouvez aussi rentrer à votre hôtel, et on en parle plus. Vous êtes libre. Que décidez-vous?

La jeune femme lançait des regards affolés autour d'elle; très vite, d'une voix un peu enrouée, elle dit: "je vous suis! Partons, s'il vous plaît!"

Nous avons quitté le bar. Dehors, en cette fin du mois d'août, la chaleur était lourde, annonciatrice d'orage, comme c'est souvent le cas ici. Nous avons marché en silence durant quelques minutes, et nous nous sommes arrêtés, sur mon injonction, au coin de la rue des Eperonniers.

  • Il est encore temps de renoncer, Karen, ai-je dit calmement. Si vous franchissez la porte de l'atelier, sachez que je vous traiterai durement; pas tant parce que vous le méritez que parce que j'en ai envie... Dans votre avion, demain, le fauteuil vous semblera très inconfortable, mais vous ne pourrez pas voyager debout... Il y a une station de taxis à deux pas. Je puis vous y conduire.

Un groupe d'Allemands éméchés passa près de nous en riant grassement. Karen dit d'une petite voix: "je viens avec vous".

  • C'est bon. En gage de soumission, vous allez ôter votre culotte et me la confier.

  • Ici?!...

  • J'ai horreur de me répéter. Allons, vite!

Le groupe de teutons disparaissait au bout de la petite rue; Karen a retroussé sa jupe et prestement fait glisser le slip au long de ses cuisses. Elle à enjambé le sous-vêtement et me l'a tendu, d'une main qui tremblait un peu. J'ai plongé mon visage dans le tissus soyeux et tiède, et pris une profonde inspiration. La culotte était imprégnée du parfum précieux de Karen, et aussi des effluves plus musquées de son intimité; ce mariage de fragrances était absolument grisant... j'enfouis le sous-vêtement dans ma poche, et nous nous remîmes en route. Tenant à troubler un peu plus ma consentante victime, je remarquai:

  • Votre petite culotte me semble anormalement humide, pour ne pas dire mouillée. La chaleur ambiante ne peut pas être la seule responsable... Seriez-vous à ce point excitée par ce qui va vous arriver dans quelques minutes?...

Karen fit un mouvement de tête qui pouvait signifier à la fois oui et non... De toutes façons, je n'avais pas besoin de réponse à ma question.

Comme j'ouvrais ma porte, le beffroi de la Grand-Place sonna trois fois. La pièce allait commencer...

Karen

Trois mois étaient passés depuis cet incident, et à nouveau, j'étais à Bruxelles.

Pourquoi retournais-je à Bruxelles ? Etait-ce réellement à cause de ma thèse doctorale ?

Ma tête disait que oui... Mon coeur disait que non...

Tout mon corps tremblait quand l'avion à atterri...................

J'ai été toute la journée occupée avec l'affaire de ma

thèse. Et le soir, je suis rentrée à mon hôtel, j´ai pris un bain et j´ai commencé, sans une idée fixe dans la tête (ou si?) à m´arranger pour sortir. Cette fois je me suis habillée en femme. Je suis sortie toute seule me promener sur la Grand- Place, et mes pas m'ont ramenée à l´ atelier de Waldo...

J´ai eu une grande déception quand j'ai vu qu´il n'était pas là. Comme je repartais, j'ai rencontré un voisin dans le vestibule. Je lui ai demandé s'il savait où était Waldo, et il a dit qu'il était sûrement dans un des pubs du quartier...

Je ne savais pas quoi faire. J´ai pensé que ce serait plus prudent de rentrer à l´hôtel, mais mes pieds ne m´obéissaient pas . C´était la première fois de ma vie que je courais derrière un homme. J'ai visité deux pubs sans succès, et quand je suis rentrée dans le troisième, mon coeur s´est arrêté........ Je me suis figée, et je me suis posé sérieusement cette question: "Vraiment Karen, veux-tu aller jusqu'au bout ?…

Trop tard pour faire marche arrière, Waldo m'avait vue. S'approchant de moi, au lieu de me souhaiter la bienvenue, il a commencé à me gronder pour ne pas l'avoir informé de mon arrivée et pour marcher à sa recherche dans tous les bars du quartier.

Son ton était sévère, et je commençais vraiment à me repentir d'avoir fait tout cela…

Wado me disait que je méritais une punition et il parlait à haute voix. Tout le monde l´écoutait. Il m'a menacée de me punir là même. Je l' ai supplié, et, en baissant un peu la voix il m'a dit alors qu'il m'appliquerait la punition dans son atelier, mais qu´il serait alors beaucoup plus sévère.......

Bien que tout mon corps tremblât, j'ai accepté à nouveau son invitation. Chemin faisant, Waldo m'annonçait comment serait sévère ma punition. Chaque mot qui sortait de sa bouche, chacun de ses regards, me troublaient de plus en plus. A chaque instant je sentais que ma volonté n'était déjà plus ma volonté, ma volonté était sa volonté et qu'il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait. Il me dominait.. et moi, j'obéissais.

En pleine rue il m'a obligée à enlever ma culotte et a la lui donner, juste quand passait un groupe de gens... Il a fait alors une observation à haute voix sur l'humidité qu il avait remarqué en elle.. Les gens riaient et moi je crus mourir de honte, de trouble et de peur...

Nous arrivions en fin à l ´atelier quand j´ai entendu l'horloge de la Grand- Place sonner 3 fois.

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AUTEUR : Waldo

Partie 2

Mon atelier est une assez vaste pièce, presque carrée, traversée de trois grosses poutres à quatre-vingts centimètres du plafond. Ces poutres me sont très précieuses, en certaines occasions dont je parlerai plus tard.

Une verrière inclinée qui dispense, lorsqu'il fait jour, une lumière particulièrement propice à mon travail de peintre occupe tout le mur nord. Les autres murs, peints en blanc, sont couverts d'étagères en bois naturel, de dessins, de livres. Ma table de travail est une grande planche posée sur deux tréteau, sur laquelle règne un apparent désordre. Des blocs à croquis, des pots garnis de brosses et de pinceaux, des flacons, des tubes de couleur, un mannequin articulé dont je ne me sers jamais... Un massif chevalet constellé de taches multicolores trône dans un coin, près d'un grand miroir inclinable et pourvu de roulettes. Deux armoires aussi, entre lesquelles s'encastre un sofa recouvert d'un tissus à ramages. C'est un atelier d'artiste comme beaucoup d'autres, où flottent toujours dans l'atmosphère des relents de térébenthine. A droite de l'entrée, est aménagé un coin-salon, assez succinct, pour recevoir mes rares visiteurs: une table basse laquée noire, trois sièges de cuir, confortables mais sans accoudoirs, et un frigo cubique que j'ai peint en imitation bois. Des lampes halogènes disposées aux endroits stratégiques composent un éclairage intime et chaleureux. Une petite pièce est attenante à l'atelier, pourvue d'une toilette et d'un lavabo.

Karen avait posé son sac à main sur la table basse et se promenait à pas lents dans la pièce. Elle regardait le décor qui l'entourait, mais ses yeux avaient une expression absente, et je crois qu'elle regardait plutôt à l'intérieur d'elle-même... Je n'avais plus de Champagne au frais, et j'ai servi deux long-drinks de Jack Daniel's avec beaucoup de glace. Karen a dit: "oh, non, Waldo, pas d'alcool fort pour moi..." Je lui ai mis d'autorité le verre dans la main:

  • Buvez, ça vous fera du bien, et ça vous aidera à supporter le châtiment Que je vais vous infliger. Vous n'avez pas oublié, je suppose, que vous êtes ici pour recevoir une sévère punition?... D'ailleurs, à ce propos...

J'ai tiré son slip de ma poche, et le lui ai tendu:

  • Remettez donc cela... Je tiens à déculotter personnellement les filles que je vais fesser.

Elle a piqué un fard, bu une gorgée de bourbon qui l'a fait tousser et posé son verre sur la table. Elle m'a tourné le dos et a enfilé sa petite culotte, évitant au maximum de retrousser sa jupe, comme pour me cacher encore ce qu'il lui faudrait bien pourtant dévoiler... J'ai souri.

  • Buvez encore, petite Karen! L'heure approche...

L'instant fatidique était en effet imminent, et j'éprouvais un pincement au creux de l'estomac. Un mélange d'excitation, de plaisir et d'angoisse m'habitait, ainsi qu'il m'arrive souvent en semblable situation. C'est une sensation extrême, grisante, mais presque douloureuse... Personne n'est parfait.

J'ai débarrassé mon invitée du verre qu'elle avait presque vidé et l'ai attirée à moi par le poignet; je me suis assis et l'ai fait basculer en travers de mes cuisses. Elle a lancé une exclamation étouffée. Elle était petite, et seules les pointes de ses escarpins et le bout de ses doigts touchaient encore le plancher. J'ai saisi l'ourlet de sa jupe et retroussé le vêtement jusqu'au creux de ses reins. Je pus constater avec satisfaction qu'elle avait mis des bas fumés, retenus par un fin porte-jarretelles noir très sobre, seulement agrémenté d'une légère dentelle.

  • Vous vous êtes conduite comme une sale gamine en me mentant, tout-à-l'heure, ai-je dit sur un ton que je voulais froid, et je vais vous corriger comme telle. Vous allez recevoir une fessée, une bonne fessée!

J'ai asséné quelques claques à son postérieur, moitié sur sa culotte et moitié sur la chair; elle a jeté un petit aboiement aigu et a instinctivement ramené sa main droite sur sa croupe en un geste d'illusoire protection. J'ai saisi fermement son poignet et l'ai immobilisé sur ses reins. J'ai poursuivi:

  • Comme vous le savez sans doute, une vraie fessée s'administre toujours sur un derrière nu, parfaitement et honteusement déculotté... Car vous avez honte, j'espère?... Je sais que vous avez honte!...

Joignant le geste à la parole, j'ai fait glisser le léger sous-vêtement que j'ai laissé mousser juste sous de double renflement de ses fesses. Elle avait un derrière sublîme, parfait, le délice absolu pour les yeux d'un artiste! J'allais à présent m'occuper du coloriage... Elle avait la peau très blanche, et les quelques tapes que je lui avais données avaient déjà laissées sur son épiderme délicat des traces d'un rose vif. Sans attendre davantage, j'ai commencé à la fesser. Je distribuais les gifles avec méthode; une sur la fesse gauche, une sur la droite, une en plein milieu du séant, par le travers du sillon médian délicieusement ombré, qui s'ouvrait ou se serrait au gré de mes coups.

Ayant l'intention de prolonger cette fessée au maximum, je ne frappais pas trop fort ( c'est sensible, la main d'un artiste! ) mais suffisamment toutefois pour bien faire rougir l'épiderme. Je claquais sèchement, avec la main fermée mais, parfois, j'écartais les doigts et les laissais relâchés; ils agissaient alors comme les lanières d'un fouet. J'aime beaucoup la fessée manuelle, basique, si je puis dire, en ceci qu'elle met directement en contact la main du correcteur et la partie à échauffer. Ceci n'est pas sans conséquences physiques involontaires et Karen, dont le ventre s'agitait sur le mien, ne pouvait sans doute pas ignorer l'effet que me procurait la punition que je lui octroyais... Tant-pis, ou tant-mieux; j'avais l'intention de me l'attacher davantage par mes traitements, ou de l'en dégoûter totalement. Pas de demies-mesures! Ou elle me remercierait en quittant l'atelier, ou bien elle en franchirait la porte pour ne jamais revenir.

Au bout de longues minutes, les fesses de ma victime étaient absolument écarlates et parfaitement bouillantes; quant à ma paume, elle devenait douloureuse et parcourue de picotements... J'intensifiai mon action et giflais les rondeurs cramoisies sur un rythme plus rapide. Karen gesticulait, battait des jambes ainsi que le fait toute fille que l'on fesse un peu durement; depuis longtemps, ses chaussures l'avaient abandonnée et gisaient sur le plancher comme de petits animaux m o r t s. Elle ne criait pas, ne pleurait pas, et je suppose qu'elle y mettait un point d'honneur; simplement, elle respirait sur un mode saccadé et laissait échapper de temps à autres un petit gémissement. Je crois bien qu'en cet instant, j'aimais Karen; j'éprouve toujours une immense tendresse pour la femme que je fais souffrir dans sa chair. Je suis un sentimental.

Le souffle court, la sueur aux tempes, j'ai enfin mis un terme à cette fessée et j'ai aidé la jeune femme à se redresser. Son visage était presque aussi rouge que ses fesses - je dis bien: "presque"... Elle fuyait mon regard, très visiblement gênée, ce que je pouvais comprendre et qui m'agréait parfaitement. Je l'ai entraînée et placée face au grand miroir:

  • Vous allez rester ici en pénitence jusqu'à ce que votre postérieur ait repris une teinte plus naturelle. Vous allez croiser vos bras dans votre dos de manière à maintenir votre jupe bien retroussée, et écarter les jambes. Je veux que votre petite culotte vous reste ainsi à mi-cuisses. Je vous avertis que si vous laissez retomber votre jupe ou que votre culotte glisse d'un centimètre, je vous fouette jusqu'au s a n g!

Elle a suivi mes ordres avec application. Je suis retourné m'asseoir et me suis resservi un drink. Karen m'offrait un spectacle de choix, image de la parfaite soumission. Jupette remontée à la taille, fessier rubicond, l'élastique tendu de la ceinture du slip prêt à craquer... Soumission volontaire, d'ailleurs, mais qu'importe?... Ainsi postée face à la psyché, elle pouvait se voir et elle pouvait me voir également, mais elle regardait soigneusement ailleurs.

  • Vos tourments ne sont pas terminés, ma petite fille! Ai-je annoncé. Je viens de vous fesser comme une gamine mais, à présent, je vais vous punir comme une femme. Avez-vous déjà reçu le martinet?...

Elle a fait "non" d'un mouvement de tête.

  • Eh bien, vous allez faire connaissance avec ce remarquable instrument de discipline, et vous m'en direz des nouvelles!...

Je tirai l'objet d'une armoire et continuai mon monologue:

  • Comme vous pouvez le constater si vous daignez jeter un coup d'oeil dans le miroir - non, ne bougez surtout pas pour cela! - vous pouvez constater, donc, qu'il ne s'agit pas de ce modèle courant, assez laid, muni d'un manche de couleur criarde et de douze lanières, disparates le plus souvent, et que l'on fait fabriquer dans les prisons... Celui-ci, c'est moi qui l'ai confectionné. Le manche est plus long que sur le modèle ordinaire, et les lanières aussi. Ces dernières sont au nombre de cinq, le maximum pour obtenir un effet vraiment cinglant. Elles sont en excellent cuir et à section carrée. Elles font des traces nettes, absolument magnifiques... Ca fait mal, je peux vous le garantir. Mais vous le supporterez, j'en suis sûr. Désirez-vous encore un peu de bourbon?...

Elle à dit oui, et je crois que sa gorge devait être sèche.

  • Je vais vous apporter votre verre. Ne bougez pas. Vous boirez d'une main, et de l'autre, vous maintiendrez en place votre jupe. Je veux bien vous désaltérer, mais il est hors de question que vous me priviez du spectacle de votre derrière si bien fessé.

Tandis qu'elle buvait comme je le lui avais ordonné, conservant son verre dans sa main, je pris quelques croquis. Trois ou quatre, pas plus. J'avais hâte de poursuivre mon action punitive, et je n'avais pas le courage d'attendre que ses fesses fussent redevenues blanches. Je lui permis de quitter la position.

Karen

Il est absolument impossible de décrire toutes les sensations qui se mélangeaient en moi..

L'atelier de Waldo m'étonnait. J'ai essayé qu'il ne se rende pas

compte et j'ai commencé à me promener autour de la pièce en regardant les tableaux. En réalité je ne voyais rien. Je connaissais bien l'atelier de Waldo. Je me souvenais parfaitement. J´ étais perdue dans mes pensées, dans mes sensations quand Waldo m'a offert un verre de Jack Daniel´s.

-"Non, merci, je n'aime pas si c'est trop forts".

-"Je vous dis de le boire. Il vous aidera à supporter la punition " m'a-t-il

dit d'un ton sérieux.

-"Parce que vous vous souvenez que vous êtes ici pour être punie, n´est ce pas ?. Ah, et à ce propos.."

Et en sortant ma culotte de la poche de sa veste, il me l'a tendue.

-"Remettez ça". J'aime déculotter moi-même la femme que je punis.

Je me suis remis la culotte et j´ ai bu au verre qui il m'avait offert.

Je déteste le whisky et quand je le bois il me fait tousser.

La tension et l'atmosphère étaient à couper au couteau.

Waldo s'est approché de moi,et d'un coup sec il a pris mon bras . Il s´est assis dans sa chaise et il m´a fait me pencher jusqu'à me faire perdre l'équilibre et être totalement couchée sur ses genoux.

Waldo est un homme de constitution forte, musclée. Il me maniait comme s'il s'agissait d'une petite poupée. Allongée en travers de ses genoux, mes pieds touchaient à peine le sol. J'ai senti qu’il me relevait la jupe et me la retroussait sur la ceinture sans arrêter de me gronder sévèrement.

Il a commencé à me fesser, sur ma culotte. Les coups étaient lents, espacés, et je sentais sa grande main ouverte. J'ai essayé de protéger mes fesses avec ma main droite, mais il me l´a attrapée avec sa gauche et m'a plié le bras derrière mon dos, à la hauteur de la ceinture, pendant qu´il me disait plus ou moins ces paroles :

"Vous savez qu'une bonne fessée doit être administrée sur les fesses nues, et cela donne beaucoup de honte.. Parce que vous avez honte n´est ce pas?

Je n´ai pas répondu.

"Je sais que vous avez honte"

Et en disant ceci il m'a enlevé la culotte. Il a commencé à me fesser lentement et méthodiquement. Une fois sur la fesse droite, une autre sur la gauche, juste au centre des fesses, dans la ligne qui les sépare. Ils n´étaient pas très forts les coups, mais ils me cuisaient.

Ma tête tournait. J´avais très honte..

Je me souvenais que la fois précédente, j'étais inclinée sur la table et il était derrière moi, mais un peu éloigné et situé à ma gauche, puisqu'il me fessait avec la règle ; par conséquent, il n'avait pas pu contempler mes fesses comme maintenant. Je sentais, bien qu'évidemment je ne pouvais pas le voir, son regard sur mes fesses, et cela me rendait très honteuse.

Mon ventre était juste sur le sien. Et j'ai remarqué l'effet que mes mouvements et que la situation en général provoquaient en lui. Sans pouvoir donner aucune explication du pourquoi, je me suis réjouie. Je me suis réjouie de provoquer chez l'homme que me soumettait, qui m'humiliait, cette excitation. J'aurais dû être m o r t e de peur pour cette raison, mais je ne l'étais pas. En réalité pour moi c´était égal tout ce qui pourrait se passer cette nuit : C´était moi qui l'avais cherché, et ça m´excitait...

Waldo a intensifié le rythme des coups . C était réellement douloureux , mais je n'ai pas voulu crier. Je n'ai pas voulu pleurer. J'ai essayé de supporter stoïquement la situation..

Finalement il a cessé la punition. Mes fesses brûlaient ..

Ufffff Waldo m'a aidée à me lever et il m'a conduite face au miroir.

Il m'a obligée à me regarder les fesses .. ! Mon Dieu, elles étaient absolument

rouges !!!

Waldo m'a ordonné de ne pas bouger et de maintenir ma jupe levée avec mes mains et ma culotte aux genoux pendant qu´il me regardait. Il m'a menacée de me punir jusqu'au s a n g si ma culotte perdait sa position ou si je laissais retomber ma jupe.

Il s´est servi un autre Jack Daniel´s et il s´est assis pour bien me regarder, pendant qu'il me parlait et me menaçait.

Il m´ a annoncé que je serais fessée au martinet.

J'avais entendu parler du martinet. j´avais vu des photos... Et souvent, dans mes rêves plus intimes, je rêvais d'être fessée avec lui... Waldo me parlait des particularités de son martinet, conçu par lui et des avantages qu'il avait sur les martinets conventionnels.

Je l'écoutais sans savoir très bien si j étais effrayée, soucieuse, paralysée... J écoutait sa voix qui me troublait et que j´ adorais toutefois... mmmmmm Cette voix........mmmmmmmmm. Je me trouvais totalement à sa merci. Soumise, dominée par lui, J´ écoutait sa voix sévère mais à

la fois tendre qui prétendait, je suppose, m'intimider, mais sans le savoir, ce qu´il obtenait c´était mon excitation.

Ma bouche était sèche et il s'en est rendu compte Il m'a apporté de nouveau mon verre et il m'a permis de boire avec une main et de maintenir ma jupe avec l'autre..

Il est retourné à son fauteuil et a pris ses crayons et son bloc de papier, et en regardant mes fesses, il a commencé attentivement à dessiner....................

Retour a l´atelier 3

AUTEUR : Waldo

Chapitre 3

Karen s'est tournée un peu de côté, comme elle l'avait fait la première fois; rapidement, elle a remonté son slip et est venue jusqu'à trois pas de moi. Restant debout, elle a achevé son Jack Daniel's. Elle baissait le regard, comme si elle considérait mes pieds avec attention... J'ai émis un petit bruit de langue faussement agacé:

  • premièrement, madame, je ne vois pas ce que mes chaussures ont de si fascinant. Ce sont des boots assez ordinaires...

J'avais dit "madame" pour ne pas risquer de me tromper; en fait, je ne savais absolument rien d'elle. Etait-elle mariée, là-bas, en Espagne?... Avait-elle un - ou des - amants?... C' est ce qui faisait, pour moi, l'un des charmes de la situation. Cette jeune et belle femme se prêtait à mes jeux pervers avec soumission; mieux, elle était venue elle-même se livrer, sans savoir - même si elle pouvait l' imaginer - jusqu'où je la mènerais. Je ne la connaissait pas, elle ne me connaissait pas davantage, et nous vivions pourtant une relation d'extrême intimité. Il est beaucoup plus aisé, quand s'expriment l'amour ou simplement le désir, d'offrir à l'autre tous les secrets de son corps; la découverte est mutuelle et la passion amoureuse abolit assez facilement les barrières que la pudeur pourrait dresser. Mais en cet instant, rien de semblable n'existait, et pourtant, Karen offrait son corps à mes inavouables fantaisies, sans devoir f o r c é ment espérer une quelconque réciproque... Je lui devais un moment rare de ma vie, et lui en serais toujours reconnaissant.

Karen a fait l'effort - et c'en était un - de relever la tête et me regarder en face. J'ai pris mon air sévère:

  • C'est mieux... Mais vous venez de faire quelque chose qui m'a déplu. J'estime qu'en ce moment, vous n'avez aucun libre arbitre; vous êtes là pour m'obéir en tous points et ne prendre aucune initiative Si vous souhaitez faire quoi que ce soit - ne fut-ce que vous gratter l'oreille - vous m'en demanderez d'abord la permission. D'accord?...

Elle a approuvé de la tête.

  • Je considère donc comme une faute le fait de vous être reculottée sans en avoir attendu l'ordre, et je devrai vous punir aussi pour cela. J'envisageais de vous donner trente coups de martinet, je vais en ajouter vingt pour votre inconduite. Toujours D'accord?...

Elle a de nouveau acquiescé; ses joues se sont empourprées et son menton est retombé sur sa poitrine. Je me suis mis debout et j'ai pris le martinet. J'ai dit doucement:

  • C'est bien.Otez votre jupe, je m'en voudrais de l'abîmer. Votre culotte aussi, complètement, cette fois. Comme lors de votre précédente visite, elle est confisquée. Vous ne la reverrez pas...

J'ai soigneuse ment plié sa jupe que j'ai posée sur le dossier d'un fauteuil. La petite culotte, je l'ai négligemment jetée sur ma table de travail. Durant une ou deux minutes, j'ai admiré silencieusement la jeune femme, tournant lentement autour d'elle, faisant bruisser les lanières du martinet contre ma jambe. Elle a esquissé le geste de tirer sur les pans de sa blouse, trop courte pour cacher le triangle de son ventre, mais elle s'est vite ravisée, se souvenant de mes directives, et elle est restée ainsi, les bras ballants le long du corps.

  • Vous allez vous pencher en avant, les jambes bien droites, bien tendues, et saisir vos chevilles dans vos mains.

Je me tenais derrière elle; je me suis accroupi afin de voir son visage à l'envers, entre ses genoux. Elle était un peu congestionnée, et ses beaux cheveux blonds caressaient le plancher. Je lui ai ordonné d'ouvrir davantage les jambes, et j'ai ricané, parfaitement odieux mais assez lyrique:

  • C'est mieux comme ça! Je voyais mal ce que vous tentez de me cacher depuis votre arrivée!... Vos fesses, encore roses de la précédente fessée, et le petit oeillet bistre qui fleurit entre elles... Cette crète de chair délicate aussi, Rose, luisante d'une humidité nacrée, comme une fleur à la rosée du matin... Que ne suis-je un poète confirmé, petite Karen, pour chanter les trésors de beauté que vous m'offrez!...

Jugeant que j'avais suffisamment malmené la pudeur de mon invitée, je me plaçai à son côté, de deux pas en retrait; j'annonçai d'une voix plus dure:

  • Vous compterez les coups d'une voix forte et claire. Pas de marmonnements ou de gargouillis incompréhensibles, qui vous vaudraient des coups supplémentaires. Si vous ne pouvez vous retenir de crier, je ne vous l'interdis pas. Mais épargnez-moi les jérémiades. Si vous criez, que ce soient au moins de beaux cris!

Sans plus attendre, j'ai abattu les serpentins de cuir en travers du séant de Karen, lui arrachant un gémissement étouffé. Je me suis penché sur sa croupe pour vérifier l'effet produit par cette pramière volée de cuir. L'entrelacs de lignes était précis; chaque lanière avait parfaitement marqué la peau d'un trait rouge-vif , dont l'extrémité, légèrement en relief, se teintait progressivement de mauve. J'y ai passé un doigt léger. La chair était tendre, et j'allais devoir doser soigneusement mes coups; je ne voulais en aucun cas blesser ma "punie"... Je cinglai une nouvelle fois, puis une autre; docilement, Karen comptait les gerbes de feu qui embrasaient chaque fois un peu plus son postérieur offert.

La position que je lui avais fait prendre, chère à nos voisins Anglais qui - paraît-il - corrigeaient ainsi les écolières fautives, est l'une des plus cruelles dans le genre. Outre qu'elle est très inconfortable et qu'elle blesse la pudeur par l'écartèlement des chairs, révélant le plus intime d'une dame, la tention des muscles dans cette posture est extrème, et rend les fouaillées beaucoup plus douloureuses. Je l'utilise toujours dans le cas d'une "vraie" punition; je veux dire qu'on est loin ici de la petite fessée manuelle que les amants s'octroient comme un mets légèrement pimenté au cours de leurs ébats amoureux. Cela ne signifie pas que je voulais "punir" Karen - je n'avais absolument rien à lui reprocher - mais je tenais à ce qu'elle souffre suffisamment pour l'éprouver, la tester, savoir jusqu'où elle était prête à se soumettre, et ce qu'elle était capable d'endurer.

Je fouettais lentement, lui laissant le temps de respirer entre chaque cinglade; de temps en temps, je passais doucement la main sur sa croupe en fusion, moins pour soulager ses douleurs que pour lui faire mieux sentir l'opprobre de sa situation, et aussi - pourquoi le tairais-je - parce que cette caresse me procurait une émotion considérable... Elle gémissait mais ne criait presque pas, sauf lorsque les lanières s'insinuaient dans la fourche de ses jambes, cinglant l'intérieur de la cuisse; alors oui, elle lançait un cri perçant et pliait sur les genoux, manquant de tomber. Très vite elle reprenait la pose.

A la cinquantième fouaillée, ses fesses étaient d'un rouge profond, presqu' uniforme, avec çà et là des marques boursoufflées; le s a n g ne perlait pas, mais c'était tangent. Je l'aidai à se redresser; elle vascillait, étourdie par sa longue station penchée. Sa bouche était entr'ouverte comme si elle ne pouvait plus la refermer, ses yeux étaient rouges, mais elle ne pleurait pas. En toute autre circonstance, elle m' aurait fait pitié... Je la conduisit à un fauteuil où elle se laissa choir en grimaçant. Elle souffla:

  • Je voudrais un verre d'eau, s'il vous plaît.

Je m'empressai de la satisfaire; je lui donnai aussi une serviette humide pour raffraîchir son visage. Qu'elle était donc belle ainsi, décoiffée, les yeux cernés de mauve, avec son maquillage quelque peu défraîchi, seulement vêtue de son chemisier trop court et de ses bas fumés... Elle ne tarda pas à se remettre debout, expliquant avec un petit sourire contrit qu'elle ne pouvait pas, pour l'instant, rester assise...

Je l'ai conduite au milieu de la pièce, bien dans la lumière, et j'ai pris son visage entre mes mains, plongeant mes yeux dans les siens qui luisaient d'une étrange lumière.

  • Ne craignez rien, ai-je dit calmement, vous allez rester debout... J'ai encore un projet pour vos fesses.

Mes mains ont glissé au long de son cou, sur ses épaules, sur sa poitrine haletante où elles se sont un peu trop attardées. J'ai déboutonné son corsage:

  • Pour cette dernière partie de votre châtiment, je vous veux nue.

La blouseest tombée sur le plancher dans un souffle soyeux, et une bouffée de Chanel n° 5 m'a enveloppé. J'ai encerclée Karen de mes bras et j'ai attaqué le sésame de son soutien-gorge avec quelque difficulté. Son visage restait impassible, mais ses yeux souriaient... Elle a ramené dans son dos ses mains qui ont touché les miennes, et c'est elle qui a dégraffé le soutien transparent. Ses seins libérés ont roulé sur son torse mince. Je la tenais toujours dans mes bras; ma bouche était à quelques centimètres de sa bouche, et je me grisai de son haleine; par l'échancrure de ma chemise débraillée, je pouvais sentir durcir les pointes de ses seins qui me frôlaient. Ses lèvres entr'ouvertes m'aspiraient comme le vide et me donnaient le vertige; si je m'étais laissé aller à ce moment-là, tout se serait passé différamment de ce que j'avais prévu, et il n'en était pas question. Je suis tombé à genoux devant elle, et j'ai fait sauter ses jarretelles une à une. J'ai aidé les bas à glisser au long de ses jambes mais ne les lui ai pas ôtés complètement, préférant les laisser mousser autour de la cheville. Le porte-jarretelle, pour sa part, a rejoint sur le plancher les autres vêtements que j'ai repoussés d'un pied désinvolte.

J'ai pris dans un tiroir un rouleau de cordelette, très douce, en nylon entrelacé blanc, et je lui ai demandé de me tendre ses poignets que j'ai liés soigneusement. J'ai lancé le rouleau par dessus la poutre centrale, sous le plafond, et j'ai tiré sur le lien jusqu'à ce que les bras de la jeune femme fûssent bien tendus au-dessus de sa tête. J'ai fixé l'extrémité du lien à un anneau prévu à cet effet, vissé dans le plancher. Pour terminer, je lui ai posé une barre d'écartement; un tube métallique pourvu de deux bracelets de cuir dont j'ai enserrées chacune de ses chevilles. La barre était pourvue en son milieu d'une bague permettant d'en réduire ou augmenter la longueur, que j'ai réglée au maximum. L'ouverture extrême de ses jambes avait pour effet de faire descendre son corps de quelques centimètres, tendant encore davantage ses bras vers le plafond, arquant son torse nu de merveilleuse façon.

Dans l'armoire, j'ai choisi une cravache. J'ai pris la plus belle, achetée le mois précédent chez un grand sellier. elle était fine, longue de soixante-dix centimètres, en cuir fauve finement tressé, terminée par une boucle plate, également en cuir. J'en avais une autre, très racée également, dont l'extrémité s'ornait de trois brins de cuir rigide terminés par des petits noeuds. Celle-là avait l'inconvénient - ou l'avantage, selon les circonstances - de couper très vite la peau, et je ne pouvais présentement l'utiliser.

J'ai montré l'instrument à Karen, et une expression angoissée s'est peinte sur ses traits. J'ai dit sourdement:

  • Je vais vous fouetter avec cette jolie cravache... Vous ne devrez pas compter les coups, car je ne sais pas combien vous devrez en recevoir. Je vais vous faire très mal, pour mon plus grand plaisir, et je vous en demande pardon.

J'étais sincère. Comprenne qui peut.

La fine tige du cuir souple a fendu l'air en sifflant; sous la morsure, Karen a jeté un cri aigu et dit quelque chose en espagnol. Quatre fois encore j'ai abattu la cravache en travers de sa croupe, et quatre fois elle à crié. Je me suis interrompu pour examiner de près et caresser sa croupe martyrisée, puis je suis venu en face d'elle. Ses yeux, et son visage pressé entre ses bras, reflétaient la douleur; maintenant, sans effort, elle soutenait mon regard. Nous n'en étions plus aux vaines pudeurs de la jeune fille fessée; nous atteignions des sommets bien plus sérieux. Sa lèvre inférieure tremblait un peu. J'ai passé la paume de ma main dans le compas de ses cuisses écartelées, et j'ai constaté, comme pour moi seul:

  • Vous êtes trempée. Un vrai lac.

Scrutant son visage, j'ai prolongé la caresse. J'ai osé un doigt, puis deux. Son visage était plus douloureux que jamais; ses yeux ont chaviré, sa tête est tombée en arrière et elle a émis un long râle, tout son corps en sueur secoué de spasmes. Rien au monde n'est plus beau qu'une femme en proie à l'orgasme, et Karen, en cet instant, était divine... J'ai porté à ses lèvres mes doigts ruisselants d'elle, et elle les a aspirés dans sa bouche.

J'ai repris mes distances et je l'ai sèchement cravachée par trois fois sur le devant des cuisses, juste sous son sexe. Elle a hurlé et encore prononcé quelques mots précipités que je n'ai pas compris puis, soudainement, son visage s'est incliné et elle a éclaté en s a n glots.

J'ai attendu qu'elle se calme un peu. Maintenant, les larmes roulaient sur ses joues silencieusement. Très tendrement, je les ai bues de quelques petits baisers.

  • Vous pleurez, ai-je murmuré. Pour moi, c'est quand apparaîssent les larmes que la punition commence vraiment... Demandez-moi de continuer, Karen. Demandez-le moi...

Elle m'a regardé de ses yeux noyés de pleurs, et elle l'a fait. J'étais fou. J'ai repris la cravache et je l'ai fouettée sauvagement sur les fesses, jusqu'à ce qu'apparaîssent sur sa chair délicate deux ou trois perles de rubis.

J'ai jeté la cravache; fébrilement, j'ai déverrouillé la barre qui l'écartelait, et j'ai tranché la corde d'un coup de cutter. Elle serait sûrement tombée sur le sol si je ne l'avais pas emportée dans mes bras, presque évanouie.

Je l'ai déposée précautionneusement sur le sofa, à plat-ventre - naturellement - et je lui ai fait boire un peu d'alcool, au goulot de la bouteille.

  • Ne bougez pas, j'ai dit. Récupérez. Je vais vous soigner.

Très longtemps, j'ai passé un baume au calendula et à l'arnica sur sa croupe balafrée, massant le plus doucement possible. Elle gémissait légèrement, comme une e n f a n t malade, le visage enfoui dans les coussins. Je lui ai dit qu'elle pouvait dormir ici, que je laisserais la porte ouverte, et qu'elle pourrait sortir quand elle le voudrait. Elle n'a pas répondu. Je crois qu'elle dormait. J'ai ramené sur elle la couverture bariolée. Je me suis redressé, j'étais épuisé, soudain. Je me sentais vide. J'ai vu mon image dans le grand miroir. J'ai voulu me sourire, mais je n'ai pas réussi. Silencieusement, j'ai quitté l'atelier.

Dehors, l'aube pointait, la rue déserte paraîssait bleue. J'ai allumé une cigarette qui m'a parue dégueulasse, mais je l'ai fumée quand même. Les évènements de la nuit me tourbillonnaient dans la tête, et je marchais de travers. Il était cinq heures, un café du centre venait d'ouvrir, et j'y entrai.

Je regardais sans le voir mon café qui refroidissait. Je savais que quand je retournerais à l'atelier, Karen n'y serait plus, et ce serait bien comme ça. La seule question qui me torturait véritablement était : reviendra-t-elle?... Dans un mois, dans un an?... Peut-être Jamais...

Cette éventualité-là me tordait le coeur. J'ai repoussé le café froid et j'ai commandé un Jack Daniel's. Le garçon m'a lancé un regard torve, mais il m'a servi. J'ai levé mon verre et j'ai trinqué avec mon reflet dans la glace écaillée, de l'autre côté du comptoir, et j'ai bu à ma tristesse.

Karen

Waldo a arrêté de dessiner et j'ai pensé que je pouvais déjà

retourner à ses côtés.

J'ai lâché ma jupe et j´ai remonté à nouveau ma culotte. Je me

suis approché de lui.

Avec sérieux il m´a obligée à le regarder dans les yeux, et il m´ a

dit que j'étais là pour lui obéir, que je n'avais aucune liberté pour

prendre une décision par moi-même et que je ne pourrai rien faire

sans son autorisation.

Il était fâché parce que j´avais remis ma culotte sans son autorisation

et il m'a annoncé qu´ il ajouterait 20 coups de martinet aux 30

qu il pensait me donner , à cause de ça.

Il m'a obligée à enlever totalement ma jupe et ma culotte, et m´a annoncé que, comme l'autre fois, ma culotte serait confisquée .

Je me suis retrouvée nue depuis la ceinture, face à un inconnu qui était devenu le propriétaire de ma liberté et de ma volonté.

J'ai essayé de couvrir pudiquement mes parties stratégiques

qu'il regardait de temps à autre, mais je n´ai pas eu de succès.

Habillée seulement avec ma courte chemise, je ne pouvais rien couvrir, je

ne pouvait rien cacher au regard perçant du voleur de ma volonté.

Il a ordonné que je m´incline et me saisisse les chevilles avec les mains. Il a pris position derrière moi et il a commencé à me scruter du regard.

Je me suis senti génée. Dans cette position, il pouvait voir à la perfection toutes mes intimités. Je ne pouvais rien lui cacher.

En se rendant compte de mes pensées, il a précisément commencé à

parler de cela, avec l'intention je suppose, de me faire honte jusqu'à la limite ou de me faire comprendre que tout en moi lui appartenait et que je ne pourrais jamais rien lui cacher.

Il m´ a dit que dans cette position il pouvait parfaitement voir toute mon intimité, il l'a décrite, et a aussi fait mention de mes humidités…

Je me sentais absolument consternée, honteuse, humiliée...

Je voulais qu´il commence à me fesser et qu´il cesse de me faire honte de

cette manière. .

Il m´a annoncé les conditions de ma punition. Je devrais compter les

coups avec une voix haute et claire. Il ne me permettait pas des gémir, mais je pouvais crier, et je ne devais pas perdre non plus la position. Il était

évident, que, chaque fois que je négligerais certains de ces mandats, il ajouterait davantage de coups.

Le premier coup m a surpris parce que je n'attendais pas une sensation semblable.

Le martinet de Waldo avait 5 lanières et elles ont été comme 5 fléaux qui ont mordus mes fesses. Je me souviens d´avoir crié.

Waldo me fessait lentement, il me laissait me remettre entre un

coup et l´autre, et il passait parfois sa main en me caressant . Je m'agitais quand je sentait ses caresses .

Chaque coup était plus insupportable que le précédent. J'ai cru que je n'allais pas supporter la punition. Mais j'ai pu finalement compter 50.

Waldo m'a aidée à me relever.

Tous mes muscles étaient endoloris à cause de la position.

Il m'a emmenée au fauteuil. Je lui ai demandé de l´eau. J´avais la bouche sèche.

Je ne pouvais pas rester assise et je lui ai demandé l'autorisation de rester debout.

Waldo m'a aidée à me lever et il m'a emmenée au centre de la pièce

en me prévenant que ma punition n'était pas encore terminée, et qu'il restait encore une troisième partie.

J'ai cru m´évanouir quand j´ai appris cette nouvelle.

Face à moi, Waldo a passé ses mains sur mes épaules et il les a mises dans ma blouse jusqu'à atteindre mes seins.

Il a déboutonné la blouse et m'a annoncé que pour cette partie de la

punition, il me voulait totalement nue.

Ma tête tournait. Je ne croyais pas être en conditions de supporter la punition.

Waldo m'a prise entre ses bras. Il a commencé à me caresser . Je l' ai senti excité . Moi aussi je l'étais. J'ai fermé les yeux et j´ai souhaité fermement qu ´il me fasse l'amour sauvagement, ici même.

Waldo me dévêtait. J'ai dû l'aider à me débarrasser du soutien parce que son excitation ne lui permettait pas de trouver les agraffes.

Il s'est agenouillé face à moi, il a enlevé une par une mes jarretelles et fait glisser doucement mes bas.

D'un tiroir il a sorti une corde. Il m´a attaché les poignets et il les a tirés au-dessus de ma tête en les attachant à un anneau qu'il y avait sur le plafond.

Il a passé une barre entre mes jambes bien ouvertes, et m´a attaché les chevilles aux deux côtés de la barre.

Il m´a annoncé qu'il me punirait avec une cravache et qu'il allait me faire beaucoup de mal. Il m'a demandé pardon pour cela.

À ce moment de la nuit, et avec toutes ces situations vécues, je n´avais aucun doute : je l´aimais. Je ne voulais pas que la nuit finisse.

Je ne voulais pas devoir m´en aller .

J´ étais folle. Je ne comprenais pas comment je pouvais être tombée amoureuse d'un homme que je ne connaissais pas, et dont je ne savais rien, mais qui me rendait tellement heureuse.........

Il a commencé à me fesser avec la cravache comme était sa coutume..

lentement.

Les coups de cravache brûlaient sur mes fesses endolories qui n'étaient pas capables de supporter ni un coup de plus.

Waldo me caressait.. Il passait ses mains dans mon entrejambe et il est arrivé où il devait arriver.

Il s'est rendu compte que j'étais très excitée et me l'a fait remarquer...

Malgré ma honte, je me suis réjouie qu´il se rende compte. Je voulais qu il me fasse l'amour. Je ne désirais plus rien d'autre à ce moment.

Waldo a continué à caresser mes intimités avec une main experte jusqu'à ce qu'il m’ait faite exploser sauvagement.

Ma respiration n'était pas encore reprise quand j'ai senti la cravache cingler mon pubis.

Je n'ai pas pu en supporter davantage et j´ ai commencé à pleurer. Je pleurais sans réconfort . Des rivières de larmes tombaient sur mes joues.

Toute la tension contenue sortait à ce moment.

Waldo s'est approché de moi ; il a bu mes larmes et m'a dit quelque chose

comme : " c´est quand les larmes apparaissent que commence la

véritable punition " et il m'a presque supplié de lui demander de continuer. Je désirais qu'il me fasse l'amour mais, lui, il voulait continuer.. Ce serait

comme il le voulait. Je ferais à sa volonté. Après tout, j'étais là pour le satisfaire, pour faire tout ce qu'il voudrait.

J'ai mordu mes lèvres et je lui ai dit oui..

Waldo est devenu fou. Il a recommencé à me fesser comme il ne l'avait pas fait jusqu'à ce moment. Je n'en pouvais plus, je ne supportais plus.

Je me souviens vaguement qu'il me déliait et qu' il me prenait dans ses

bras.

Je ne me rappelle plus rien. Je me suis évanouie.

Quand je me suis réveillée, Waldo n'était pas là.

Tout mon corps me faisait mal. Ma tête tournait. Je n'arrivais pas bien à me souvenir des détails de la nuit précédente.

Je ne savais même pas quelle heure il était.

J'ai essayé de me lever. A peine si je pouvais me tenir debout.

Je suis arrivé à la petite table basse où j' avais mis mon sac à main.

J´ai sorti ma montre. Il était 9 H. du matin.

Je devais me presser. Mon avion décollait à 12 h et je devais encore passer à l'hôtel.

J'ai allumé une cigarette. Pourquoi n'était-il pas là Waldo ?

Pourquoi n'avait-il pas attendu que je me réveille pour me dire adieu ?.

La fumée de la cigarette a servi à concentrer toutes mes pensées.

Pourquoi ne m´avait-il pas fait l'amour ?

Il me désirait j´étais sûre de ça, comme moi je le désirais.

La douleur de tout mon corps, la faiblesse et la tête qui me tournait m'empêchaient de penser correctement.

J´ avais besoin d'un café.

J'ai décidé de m'habiller et de sortir. Retourner à l'hôtel, faire les bagages et digérer tout ça avec plus de temps, plus de calme, en Espagne.

Je suis allé chercher ma jupe. Je savais que ma culotte était confisquée...

Pendant que je m'habillais , j´ai revécu la respiration de Waldo quand

j´étais entre ses bras.. J'ai revécu son excitation, j'ai revécu ses yeux , son regard annihilant......

Je me suis dévêtue à nouveau.................Je suis retournée au sofa. Je me suis

couchée sous la couverture dont Waldo m'avait couverte soigneusement avant de partir, je me suis bien positionnée à plat- ventre et je me suis dit...

"Je dois dormir beaucoup, comme ça, quand il reviendra, au moins je serai reposée..........................................

Waldo

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